Rue Mallet-Stevens
Cette rue en impasse s’ouvrant sur le 9, rue du Docteur Blanche, porte le nom de l’architecte qui l’a créé en 1927. Robert Mallet-Stevens (1886-1945), architecte de formation, s’est d’abord intéressé au design mobilier et aux décors de cinéma avant
Avenue Adrien Hébrard
Cette avenue, comme les voies environnantes, a été créée en 1928 à l'emplacement du couvent de l'Assomption qui occupait encore 5 hectares. Ce couvent et l'internat qui y était attaché avaient été créés, en 1856, dans la propriété du château de
Rue Ribéra
Cette rue existait déjà au XVIIIe siècle sous le nom de « rue de la Croix » car elle comportait une croix de pierre détruite à la Révolution. C’est en 1869 qu’elle reçut le nom du peintre espagnol Joseph Ribéra (1588-1652). Tout jeune,
Rue Henri Heine
Cette rue, créée en 1886 entre l’avenue Mozart et la rue du Docteur Blanche, ne comptait qu’une seule maison en 1910. Dès sa création, elle reçut le nom du littérateur allemand Henri Heine (1797-1856). L’occupant allemand débaptisa la rue pour
Rue George Sand
Cette rue a été constituée en 3 étapes : en 1852, l’ouverture de la section comprise entre la rue François-Gérard et l’avenue Boudon, en 1880 la création de la section entre l’avenue Boudon et la rue La Fontaine et, en 1882,
Rue Jasmin
Cette rue est une ancienne partie de la « rue de la Cure » qui reçut le nom de « Jasmin », en 1885. Mais qui connaît encore Jaques Boé dit Jasmin ? Il faut dénicher un article publié, par le New York Times le
Rue du Ranelagh
Cette rue porte ce nom car, à sa création, en 1824, elle devait initialement relier le quai de Passy au Ranelagh. Mais elle ne dépassa jamais le « boulevard Beauséjour » qu’elle rejoignit, en 1877, après avoir absorbé différents sentiers qui existaient
Rue Raffet
Cette ancienne voie de la commune d’Auteuil emprunte, en partie, le tracé de la « sente des Fontis » devenue par la suite « sentier de La Fontaine ». C’est, en 1864, qu’on lui a donné le nom de « Raffet ». Auguste Raffet (1804-1860) fut
Rue du Docteur-Blanche
D’abord « sente des Fontis » puis « rue des Fontis », cette rue reçut, en 1894, le nom de ce médecin aliéniste célèbre qui avait créé rue d’Ankara, en 1847, une maison de santé, un asile d’un genre nouveau. Les patients y partageaient la
Rue Desbordes-Valmore
Cette ancienne rue de Notre-Dame reçut le nom de la femme de lettre Marceline Desbordes-Valmore en 1864, 5 ans après sa mort. Comédienne et chanteuse renommée, elle publia son premier recueil de poésies en 1819. Considérée comme la plus grande